Ceci est une ancienne révision du document !
et un magazine en français : misc
linux intégre un firewall, basé, selon les noyaux, sur ipchains (2.2) ou iptables (2.4).
Voir la documentation pour plus de précisions ou iptables-tutorial.
pour fabriquer une configuration facilement (interface graphique), il y a fwbuilder
La licence GPL impose la disponibilité des codes sources, ce qui “facilite” la relecture et le debugage des programmes. Les Bugs sont donc plus vite trouvées et corrigées
Par contre, les rapports de bugs étant publics, il est plus facile à un pirate d'exploiter les failles de sécurité …
Il est donc indispensable de suivre les évolutions logicielles
il faut pour cela s'abonner a des listes de diffusion :
ou de s'abonner a des flux rss d'annonces des nouveautes logicielles :
les commandes rlogin, rcp, rsh ne sont pas sures (les autres non plus) : au pire les mots de passe circulent en clair sur le réseau, au mieux, il est facile de tromper l'identification de l'usager : ce sont de gros trous de sécurités.
c'est d'utiliser un soft qui crypte les sessions.
ssh (fourni par tuxfinder)
site central openssh
remplacer ses fichiers .rhosts par des .shosts (mv .rhosts .shosts; chmod 600 .shosts
ne pas oublier dans un second temps de modifier /etc/inetd.conf pour devalider totalement les remotes commandes.
il existe un projet pour sécuriser les distributions Redhat/Mandriva : bastille-linux
c'est une série de scripts perls interactifs.
Pour vérifier que son systèmes n'a pas été modifie a son insu, il faut comparer à intervalles réguliers les signatures des fichiers “sensibles” avec une base. Un article plus complet est consacré à ce sujet.
en utilisant logcheck : on peut “sortir” des logs les évenements anormaux
portsentry permet de détecter les scan de ports
ids = intrusion detection system
pour faciliter l'exploitation de snort, on peut utiliser :
le principe est simple : analyse en temps réel ( appel par fam/gamin) des log et mise en quarantaine (provisoire) reseau (firewall) des adresses IP trouvées. cela permet par exemple d'empecher toute attaque en force brute. on peut proteger tout service (ssh, apache ….) : url de fail2ban
le principe est d'installer un “faux” serveur sur un port connu (ftp par exemple) et de logguer tout ce qui essaie de s'y connecter :
le principe est d'avoir des droits d'acces aux fichiers plus fins que les droits unix. par exemple, un serveur apache doit pouvoir acceder a certains fichiers de configuration sous /etc, mais pas à /etc/shadow
Initialement developpé par Suse, et adopté par Mandriva. En 2008, le projet semble quasi arrété, mais semble repris par Ubuntu en 2009 : sa pérennité est incertaine.
concretement, il est assez facile a utiliser (test en mandriva 2008.1)
Initialement developpé par le NSA et adopté par RedHat/Fedora, il est intégré au noyau linux.
cette solution s'appuie sur l'utilisation d'acl dans les inodes. Elle me semble assez complexe a administrer, et semble lourde pour le systeme.
Initialement developpé par une société japonaise, le code vient d'être intégré au noyau linux, ce qui est un gage de stabilité et de pérennité.
cette solution est un peu comparable a apparmor, avec en plus des niveaux de fonctionnement (disabled, learning, enforcement …), associ� un environnement (la hierarchie des process appelants) C'est pour moi la meilleure solution actuelle, j'ai commencé de faire une doc d'utilisation
intégré dans le noyau linux, basé sur des acl, un peu comme selinux. pas testé
on va utiliser des méthodes un peu semblables a celles des pirates :
c'est un scanner de ports : il permet de savoir ce qui est ouvert sur une machine
pour détecter les failles de sécurité
la plupart des certifications se font avec un mécanisme clef publique/clef privée.
c'est utilise notamment dans :